Bonjour et bienvenu. Ce blog ce consulte du plus ancien article au plus récent, l'ordre à son importance. Bonne visite, j'espère que cela vous plaira.

lundi 21 février 2011

Chapitre Cinquième

L'antre du géant


Les battants métallique ce refermèrent sans émettre le moindre bruit, et l'engin commença sa descente. Si la porte d'accès était constitué d'acier rougeâtre, tout le reste de l'ascenseur était en vitre, un peut comme ceux que l'ont peut voir dans les centre commerciaux actuels. Mes parents eurent donc le loisir d'admirer le jardin au milieu duquel ils passèrent pour rejoindre la cave en partant du deusième étage de la maison. Le potagé était plus qu'impeccable, des rangées de légumes parfaitement parrallèle les uns par rapport aux autres, ses salade était de la plus belle des couleur, toute à maturité, les tomate était si rouge qu'on les aurait cru peintent, les courges étaient énormes, et biensure, au milieu de tout cela des dizaines de fleures de tous les couleurs jaillissaient du sol. Chacun y allat de son compliment, mon père en grand connaisseur, ma mère en simple amatrice et ma grand mère eu le temps pendant les vingt secondes que dura leur trajet, de leur relater une bonne trentaine d'anecdotes. Elle effectua aussi comme si cela était parfaitement normal, une dizaine de traction du  bras droit, sur la barre métallique fixer  au plafond et visiblement prévu à cet effet. Quand ils arrivèrent enfin à destination, les portes s'ouvrir sur un nuage de fumé qui envahi immédiatement la cabine. Ma grand mère rassura mes parents, avant même que l'un d'eux n'eu le temps de poser la moindre question, sur la récurrence de se fait tout à fait. Elle rajouta ensuite que c'était du à un des nombreuses expériences qui se déroulaient en ces lieux, et que "non, papy ne c'était pas mis à fumer". Elle continua en parlant de  toutes les tentations auxquelles ce dernier avait été sujet lors de sa jeunesse et auxquelles il avait renoncé. Fort heureusement, une voix s'éleva dans le fond de la cave, et mamie ce tut immédiatement. La fumée se dissipa alors, et derrière elle, se dessina une ombre des plus imposantes. Des épaules hautes et larges, un buste surdéveloppé par des années de musculation, tout sa sur un corps dépassant les deux mètre dix, voilà à quoi ressemblait mon grand père. Voyant qui lui rendait visite, il se rua sur mes parents afin de les embrasser. Quand il vous embrasse, et c'est toujours d'actualité, il vous saisi chaque épaule dans une de ses grandes mains et vous soulève littéralement du sol. Il leur offrit avant toute chose, et cela leur parut étrange, a verre à chacun, emplit d'une boisson qui semblait totalement artisanal. Bien évidemment, mamy et sa super activité bu la mixture d'un trait, et mon grand père repris alors les trois verres sans que mes parents, eux, est le temps de boire. Ma mère compris ce qui venait de se passer au moment ou elle vu mamy s’installer sur une chaise, poser ses bras en croix sur la table et s’endormir dessus. « Tu l’as drogué !  Accusa-t-elle, son père la regarda avec un sourire amusé, que l’ont adresse souvent à un enfant exagérant une situation.
            -Ce sont en effet des somnifères, les médecins lui ont prescrit mais elle refuse de les prendre, alors je la piège. Il se mit à rire de sa voix grave et puissante. Maintenant que nous allons pouvoir parler tranquillement, je vous souhaite la bienvenue dans mon laboratoire. D’un geste de la main, il désigna l’intégralité de la pièce l’entourant. Mes parent découvrir alors ce qui, ils ignorent encore pour qu’elle raison ne leur avait pas sauté aux yeux avant.  Les murs étaient recouverts d’écrans, d’étagères emplit de diverses fioles, instruments de haute précision, et énormément d’autres gadgets scientifiques. Si la question est comment ta put te payer ça, je répondrais avec un peu de la drogue de ta mère, et si c’est à quoi tout cela te sert, je vous dirais suivez moi. Toujours bouche bé, mes deux parent avancèrent à la suite du colosse qui s’engagea dans la cave décidément immense elle aussi.


jeudi 17 février 2011

Chapitre Quatrième

Oh mère grand! Comme vous avez de grande … réserve d’énergie.
 Mais c’est pour mieux vous accueillir mes enfants.



Nous en étions donc à l’ instant où mes parents, venu de loin en quête de réconfort, venait de frapper sur la porte de la maison biscornu de mes grands parents. A peine mon père avait il reprit la main de ma mère dans la sienne, qu'un bruit de course c'était fait entendre à l'intérieur, et dans les seconde qui suivirent, la porte s'ouvrir à la volé. La femme qui apparut alors devait faire environ un mètre vingt, les cheveux grisonnant, et sur ses trait pouvait encore se lire à qu'elle point elle avait été belle dans sa jeunesse. Elle leur sourit immédiatement, et leur tendit ses petits bras. Chacun à leur tour, ils l'étreignirent. Ce qu'il faut que vous sachiez sur cette femme, et que j'ai faillit oublier de vous dire, était le fait qu'elle ne se calmait jamais. Avant même d'ouvrir la porte elle avait déjà commencé à parler à toute vitesse, sans prendre aucune pause pour respirer. Elle discutait en continu, même en leur faisait la bise, elle leur avait posé des dizaines de question, dont bien sur elle avait fait les réponses. De plus pour complété ce tableau, elle ne savait pas rester statique, elle était toujours à sautiller, parfois même quand la conversation la passionnait, elle faisait des flexions, ou encore, mais c'était plus rare, on la voyait ce jeter au sol afin d'effectuer quelque pompes. Cela étant, elle avait toujours sur accueillir, et elle les fit entré à sa suite. Ma mère qui était déjà à six mois de grossesse, eu le plus grand mal à monter ses escaliers,  et ma grand mère les montait puis les redescendait en courant afin  de pouvoir continuer à discuter. Quand ils atteignirent enfin le haut des cent trente sept marches, elle les fit s'installer dans leur canapé à l'aspect miteux et déglingué. Si ce meuble avait cette apparence, ce n'était pas sans raison, en effet, mon grand père que vous ne tarderez pas à rencontrer l'avait trafiqué afin de lui installé une fonction vibrante. La chose avait très bien marché au départ, et d'après ses dires était le meilleur outil jamais inventé pour ce relaxé. Malheureusement, au bout de quelque utilisation il s'était mis à faire des bons de un mètre de haut, et si grand papa n'avait pas été champion de rodéo dans sa jeunesse, dieu seul sais comment les chose aurait put tourner. En tout cas, le canapé était à présent redevenu aussi inactif que lors de son achat, et malgré son apparence détériorée, il avait gardé tout son confort. Mamie ne s'assit évidement pas avec eux, elle commença une longue série d'allez retour, visant visiblement à vider tout le frigo ainsi que les placards, et à tout disposer sur la table à la disposition de ses invités. Tout cela bien sur sans arrêter une seule seconde de discuter. Maman ce permis tout de même de l'interrompre au beau milieu de l'histoire de l'oncle Denis et de son évasion de l'asile afin de lui demander ou était grand père. La concerné ce contenta de répondre " A la cave " et repris de plus belle son discours. Ma mère resta interdite, cette maison n'avait jamais possédé de cave, de plus elle  ne touchait le sol qu'a un endroit, et l'escalier empêchait tout accès à une quelconque pièce souterraine. Mon père réagi plus vite et agi comme il le faisait toujours quand il voulait s'adresser à sa belle mère. Il se leva, la saisie par les épaules et la fixa dans les yeux. Il agissait ainsi, car l'effet de surprise réussissait à coup sur à faire taire ne serais qu'une seconde ma grand mère, mon père savait qu'il fallait qu'il parle maintenant ou qu'il se taise à jamais. Il profita donc de l'occasion pour  dire c qu'il avait à dire, en prenant bien soins de ne pas prendre le temps de respirer afin qu'elle ne puisse reprendre la parole. Voilà un peut près ce qui sortit de sa bouche: " unecavevousavezunecaveouestelle?depuisquandl'avezvous?pouvezvousnousyemmener. Malgré la vitesse à laquelle il avait dit, il n'y avait eu aucun agressivité dans sa voix, ni même la moindre marque d'excitation. Il avait gardé un ton approprié à une conversation poli. Bien évidement, dés qu'il se tut, sa belle mère repris directement la parole et l'invita à le suivre. Elle partit toujours sautillante vers les chambres. Ils empruntèrent un escalier donnant à l'étage supérieur, et pénétrèrent tout trois dans la chambre de mes grand parent et elle leur présenta une grande porte métallique qui au vu des trace sur le mur l'encadrant, avait été récemment ajouté. Ma grand-mère expliqua alors à mes parents qu'il avait fait installer un ascenseur au sein de leur maison. L'engin desservait le 2ieme étages (constitué de deux chambre), le 3ième (encore des chambre), le 4ieme (Salles d'eau), le 5ième (Bibliothèque), le 6ième (Salon), le 7ième (Cuisine), le 8ième (Jardin botanique, nous y reviendrons plus tard), le 9ième (Salle de Billard), le 10ième (Salle du crime), le 11ième (Grenier), le 12ième (Sur grenier) et enfin la fameuse cave. "Il y avait un peu trop d’escalier pour ton père, ajouta elle à l'intention de la plus belle, mais moi je continu à les utiliser, un peu d'exercice ne fait pas de mal n'est pas. Elle continua en expliquant qu'il avait du rajouter le chemin de l'ascenseur en dehors de la maison, afin de relier la maison surélevé au sous sol. Elle les poussa donc littéralement dedans, appuya sur le bouton, et cria tout fort, "Chéri, on arrive"!!!

mardi 15 février 2011

Chapitre Troisième

Le domaine étroit de Papy Nucléaire et Mamie Ecstasy


      Nous retrouvons mes parents et le fœtus de ma sœur en route pour la maison de mes grands parents. C'est dernier habitait un petit village à la campagne, et ma mère aimait s'y rendre quand la pression de son travail devenait trop grande ou quand elle avait besoin de conseil. Il faut dire que question dépaysement, cet endroit était ce que l'on faisait de mieux. La ville dans laquelle ils habitaient ne ressemblait à aucune autre, et ce à cause de la forme de ces habitations, je vais vous expliquer tout cela. L’endroit à l'origine n'était qu'un petit village ne comptant que quelque habitants, qui ce partageait entre eux tout la beauté des lieux. Puis un beau jour, un homme fut élu au poste de maire, un homme plein d'ambitions et d'envie. Il mit rapidement en place une campagne de publicité visant à ramener dans sa ville le plus de nouveau habitant possible. A cette époque, papy et mamie était de jeune marié, et comme beaucoup d'autre, ils furent attirés par cette alléchante proposition. Ils déposèrent leur candidature à la mairie. Cette dernière reçue en quelque jour plus de courrier qu'elle n'en avait reçu ces quinze dernières années. Très vite, ils durent embaucher des intérimaires pour s'occupe des missives, la publicité avait bien marché, bien trop. Le maire n'eut pas le temps de comprendre ce qui se passait, que son bureau était déjà recouvert de demandes. D'après ses calculs, ou du moins ceux de ses conseillés, la ville ne pouvait ce permettre d'accepter au maximum qu'une dizaine de ces demandes. Mais l'homme qui la dirigeait avait bien d'autre intérêt, et d'après la vision qu'il avait de lui même, il était le genre d'homme qui pouvait tout se permettre excepté la défaite et le mensonge. Il avait promis d'accueillir au sein de son beau village tous ceux qui le désiraient, et il comptait bien tenir promesse. Il passa cinquante trois heures, douze minutes et vingt sept seconde éveiller à travailler sur se projet, et quand il tomba enfin d'épuisement sur son bureaux, il put tranquillement se mettre à baver sur les plans de la ville telle que devait devenir. Il avait dessiné l'emplacement et la formes que devrais prendre chacune des maisons afin que la ville puisse toute les accueillir en son sein, et cela n'avait pas été chose facile. Le lendemain, il présenta a tous ses plans, et bien que énormément critiquer par certains, ces dernier vire le jour, et les constructions commencèrent. C'est pour cette raison, qu'aujourd'hui encore, en se baladant dans cette ville, on peut voir certaine des maisons les moins larges, les moins longue, mais les plus hautes qu'il existe. En effet, afin d'optimiser les zones constructible les maisons furent bâtit en prenant le moins de place possible au sol, mais elles possèdent pour certaine plus d'une dizaine d'étage, comprenant certes chacun d'eux une seul et unique pièce. La maison de mes grands parents était encore différente. Elle avait été construite près d'une villa déjà existante, ou plutôt au dessus devrais-je dire. En effet, encore dans cette n'nécessité de gain de place, les nouvelles demeure avait empiété sur les ancienne, et cette dernière avait été construite par dessus une autre. Son entré devait faire environ deux mètres carré, juste la place pour un escalier en colimaçon, qui montait verticalement sur les trois premiers mètres puis qui soudainement se transformait en escalier conventionnel, suivant ainsi la forme particulière du bâtiment. La meilleure comparaison que je pourrais vous fournir concernant cette maison, serait l’image d’un arbre. La base avec cet escalier serait le tronc, et le reste serait semblable à de large branche, s’allongeant au dessus d’un toit, lui procurant son ombre. Personne ne comprit jamais  comment elle pouvait tenir debout, et les gens qui habite en dessous, vive encore actuellement dans la peur constante d’être écrasé. J’ignore si c’est grâce à cette forme particulière, ou à tout ce que j’ai vécu à l’intérieur, mais cette demeure reste et restera à jamais gravé dans ma mémoire. En tout cas, mes parents se présentèrent devant la grande porte bleu, un après midi ensoleillé, cherchant en cet endroit un peut de soutient et de réconfort, mais ils y trouvèrent bien plus. Ils ignoraient encore cela quand mon père frappa avec force à la porte et qu’à l’intérieur, des bruit de pas plus que précipité ce firent entendre dans l’escalier.


mardi 8 février 2011

Chapitre Second

An -4 avant Lilium Eleven

        
Nous y voici, à l'époque ou ma sœur occupait une place privilégié dans le ventre de ma mère que nous appellerons au cours de ce récit des divers nom suivant: Maman, la mère, la plus belle ou encore framboise de bois, en rapport avec la couleur de ses cheveux. Mais à l’ instant où nous parlons, le rouge de sa coiffure se reflétait également dans ses yeux emplit de larmes. Vous savez, j'ai déjà vu pleurer maintes femmes à diverses occasions, parfois à cause des hommes, ok souvent à cause des hommes, parfois à cause de leur travail, d'une douleur, ou encore bien d'autres raisons (jamais part ma faute bien entendu, gentleman avant tout.) Mais quand une femme est enceinte, c'est une autre paire de manche, elle pleure sans raison définis, un peut comme un ados en pleine crise, déprimé à l'idée même de vivre. Loin de moi l'idée de leur jeter la pierre, après tout, si les femmes ne pleuraient pas et n'avait pas besoin d'affection, à quoi les hommes pourraient ils bien servir? Mais une fois de plus nous nous égarons du sujet. Donc nous étions au moment ou la plus belle pleurait toute les larmes de son corps sur le canapé en soie de son grand appartement. A l'époque, mon père que nous appellerons au cours de ce récit des divers nom suivant: El padré, le vieux, Mac(Gyvers), Jack (O'Neill) ou encore Popa, était le gérant d'un casino très renommé. Il rentrât chez lui quelque heures après le début de la crise hormonal de sa femme, et croyez moi ou pas, mais cette dernière, maman, avait tellement pleuré, que le sol de l'appartement était totalement inondé. El padré, qui n'avait jamais manqué de courage, se lança immédiatement au milieu de cette eau qui lui montait jusqu'au genou afin d'allez réconforter celle qu'il aimait. Il jure encore actuellement avoir aperçut un poisson filé rapidement en direction des toilettes. Il ne mit pas longtemps à rejoindre sa moitié qui se morfondait toujours sur le canapé. Immédiatement, il la saisit et la serra avec tendresse dans ses gros bras musclés. Ce qui avait souvent suffit à la calmer par la passé ne réussi pas cette fois ci. Il dut alors se résilier à faire ce pour quoi les hommes ne sont pas les plus doués, discuter et surtout écouter. Il ressortit de cette conversation, et litres d'eau déversés, que la plus belle ne voulait pas élever son premier enfant dans le monde du jeu et du vis, (elle parla aussi longuement du fait que sa grossesse avait transformé sa taille de guêpe en une taille de bourdon, mais il lui promit qu’elle redeviendrait aussi belle qu'avant sous peut, et il eut raison.) Elle rêvait de nature, d'une petite maison dans une prairie verdoyante, ou ils vivraient heureux telle les Ingalls, elle s'imaginait déjà avec une petite aussi gentille et parfaite que la jeune Laura. Mac, voyant cette envie dans les magnifiques yeux verts de maman, se sentit près à décrocher la lune pour la combler, il était près à accomplir cette mission quel qu'en soit les sacrifices. Il lui fit la promesse qu'avant son accouchement, Framboise serait dans la maison de ses rêves. Sur ce, il la souleva d'un geste sure et précis, et se mit à nager jusqu'a la porte tel jack ( Dawson cette fois ci), il réussi a atteindre la porte avant que l'eau des pleures de ma mère n'atteignent le plafond, et sortit de la pièce.
      Le lendemain, le casino avait changé de propriétaire, et une semaine plus tard, il n'était plus qu'un tas de cendre ravagé par un incendie volontaire causé par un pauvre homme à qui la roulette avait tout prit. Mais la vie de ce pyromane mainte fois arrêté et  qui c'est échappé de toute les meilleures prisons du monde n'a aucun intérêt à coté de la mienne n'est pas? ... N'est pas... J'ai entendu un oui tout au fond de la salle, si si je vous jure c'était un oui, je vais donc continuer mon histoire, ce qui j'en suis sur vous remplit de joie.

lundi 7 février 2011

Chapitre Premier

Il est né le divine enfant


Nous y voici, dans cette grange faiblement éclairée, en son centre, se tient une femme au ventre rebondit, et à ses coté un homme dont le visage trahi l'inquiétude. Tout autour d'eux, les divers animaux de la ferme fixe de leurs grands yeux curieux la femme en plein travail. Mais voila que l'enfant commence à sortir, et après plusieurs minute de douleur, sa mère réussit à le mettre au monde et son père s'en saisi délicatement. Voilà que pour la première fois je vois la lumière, le première bruit qui me vient est celui d'une porte qui pivote, celle de la grange. Qu'elle bonne surprise, mes amis son venu pour assister à ma mise au monde, Balthazar, Gaspard, Melkior, qu'elle émo...  Attendez voir, ça ne c'est pas passé comme ça, on à du remonter un peut trop loin là. Recalibrons notre machine à la bonne date, et c'est partit...

8 octobre. Année 0 du calendrier de Lillium Eleven

   Si on excepte ma conception, qui soit dit en passant est presque semblable à celle de l'enfant dont il était question plus haut, on peut dire que c'est ici le début de mon histoire. Nous habitions à l'époque, ma mère surnommé depuis " la faiseuse de divinité " (rien n'est exagéré promis),  mon père dont la troublante ressemblance avec mac gyver et le colonel O’Neill nous a toujours fait le soupçonné d'avoir un vie parallèle et secrète en tant qu'acteur,  ma sœur autoproclamé " Reine de la maison", et moi, nageant dans le placenta, dans une jolie maisonnette entouré de marais putrides et malodorants. Peut être devrais je vous en dire un peut plus sur la vie de ma famille avant ma venu, et principalement sur l'acquisition de cette bâtisse qui est, à elle toute seule, toute un histoire. Revenons encore plus tôt dans la courbe du temps.










Introduction

Chaque vie est une histoire, emplie d'anecdotes des plus intéressantes. Toute existence, aussi triste puisse elle être, est accompagné d'un lot d'aventures. Bien sur, toutes ne sont pas bonnes à raconter, et  certaines ne nous rendent pas fière, mais il est évident qu'elles jouent toutes un rôle dans notre futur. En effet, si ce dernier est incertain, ses contours son le plus souvent dessiné pas les brume de notre passée. Pour ma part, j'en suis arrivé à un point ou je ne m'imagine pas en possession d'un quelconque futur. J'estime donc qu'il me faut revisiter mes jeunes années afin de découvrir si oui ou non, je ferais quelque chose de ces années qui me restent avant de rencontrer la sinistre mais non moins sympathique faucheuse. Bien sur, dans le brouillard de ma mémoire, le tissus de mes souvenirs à subit l'usure du temps, et possède maintenant quelque accros, voir même quelque trous béants. Forte heureusement, mon imagination agit la plupart du temps à la manière d’une araignée, tissant sa toile au dessus de ces brèches, comblant ces lacunes de fils multicolores. Bref revenons en à nos moutons, et laissons de coté les insectes, le but de ces quelque lignes, est de vous expliquer pourquoi vous être sur le point de revivre avec moi le chemin que j'ai parcourut jusqu'à la, et aussi pourquoi certaine choses pourrons vous paraitre irréelles. Je suis tout de même prêt à vous faire la promesse, que tout ce qui suit c'est réellement passé, j'en suis du moins intimement convaincu. Êtes-vous prêts? Chère lectrice, cher lecteur, prenons place dans ma Doloréane et retournons dans le passé, à l'instant même ou j'ai vu le jour.