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mardi 15 février 2011

Chapitre Troisième

Le domaine étroit de Papy Nucléaire et Mamie Ecstasy


      Nous retrouvons mes parents et le fœtus de ma sœur en route pour la maison de mes grands parents. C'est dernier habitait un petit village à la campagne, et ma mère aimait s'y rendre quand la pression de son travail devenait trop grande ou quand elle avait besoin de conseil. Il faut dire que question dépaysement, cet endroit était ce que l'on faisait de mieux. La ville dans laquelle ils habitaient ne ressemblait à aucune autre, et ce à cause de la forme de ces habitations, je vais vous expliquer tout cela. L’endroit à l'origine n'était qu'un petit village ne comptant que quelque habitants, qui ce partageait entre eux tout la beauté des lieux. Puis un beau jour, un homme fut élu au poste de maire, un homme plein d'ambitions et d'envie. Il mit rapidement en place une campagne de publicité visant à ramener dans sa ville le plus de nouveau habitant possible. A cette époque, papy et mamie était de jeune marié, et comme beaucoup d'autre, ils furent attirés par cette alléchante proposition. Ils déposèrent leur candidature à la mairie. Cette dernière reçue en quelque jour plus de courrier qu'elle n'en avait reçu ces quinze dernières années. Très vite, ils durent embaucher des intérimaires pour s'occupe des missives, la publicité avait bien marché, bien trop. Le maire n'eut pas le temps de comprendre ce qui se passait, que son bureau était déjà recouvert de demandes. D'après ses calculs, ou du moins ceux de ses conseillés, la ville ne pouvait ce permettre d'accepter au maximum qu'une dizaine de ces demandes. Mais l'homme qui la dirigeait avait bien d'autre intérêt, et d'après la vision qu'il avait de lui même, il était le genre d'homme qui pouvait tout se permettre excepté la défaite et le mensonge. Il avait promis d'accueillir au sein de son beau village tous ceux qui le désiraient, et il comptait bien tenir promesse. Il passa cinquante trois heures, douze minutes et vingt sept seconde éveiller à travailler sur se projet, et quand il tomba enfin d'épuisement sur son bureaux, il put tranquillement se mettre à baver sur les plans de la ville telle que devait devenir. Il avait dessiné l'emplacement et la formes que devrais prendre chacune des maisons afin que la ville puisse toute les accueillir en son sein, et cela n'avait pas été chose facile. Le lendemain, il présenta a tous ses plans, et bien que énormément critiquer par certains, ces dernier vire le jour, et les constructions commencèrent. C'est pour cette raison, qu'aujourd'hui encore, en se baladant dans cette ville, on peut voir certaine des maisons les moins larges, les moins longue, mais les plus hautes qu'il existe. En effet, afin d'optimiser les zones constructible les maisons furent bâtit en prenant le moins de place possible au sol, mais elles possèdent pour certaine plus d'une dizaine d'étage, comprenant certes chacun d'eux une seul et unique pièce. La maison de mes grands parents était encore différente. Elle avait été construite près d'une villa déjà existante, ou plutôt au dessus devrais-je dire. En effet, encore dans cette n'nécessité de gain de place, les nouvelles demeure avait empiété sur les ancienne, et cette dernière avait été construite par dessus une autre. Son entré devait faire environ deux mètres carré, juste la place pour un escalier en colimaçon, qui montait verticalement sur les trois premiers mètres puis qui soudainement se transformait en escalier conventionnel, suivant ainsi la forme particulière du bâtiment. La meilleure comparaison que je pourrais vous fournir concernant cette maison, serait l’image d’un arbre. La base avec cet escalier serait le tronc, et le reste serait semblable à de large branche, s’allongeant au dessus d’un toit, lui procurant son ombre. Personne ne comprit jamais  comment elle pouvait tenir debout, et les gens qui habite en dessous, vive encore actuellement dans la peur constante d’être écrasé. J’ignore si c’est grâce à cette forme particulière, ou à tout ce que j’ai vécu à l’intérieur, mais cette demeure reste et restera à jamais gravé dans ma mémoire. En tout cas, mes parents se présentèrent devant la grande porte bleu, un après midi ensoleillé, cherchant en cet endroit un peut de soutient et de réconfort, mais ils y trouvèrent bien plus. Ils ignoraient encore cela quand mon père frappa avec force à la porte et qu’à l’intérieur, des bruit de pas plus que précipité ce firent entendre dans l’escalier.


1 commentaire:

  1. Je l'ai lu, on progresse, on progresse!! :)
    Le farfelu est très intéressant, je suis une grande fan de Lewis Carroll.

    Nonpas d'alternance pour moi, mais des stages par ci par là.

    A bientot!!

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